Il est à noter que c’est une évolution de 21%, par rapport à 2018. Ces dépenses comprennent l’achat de machines de matériaux, mais aussi, de développement de nouvelles méthodes et procédés. Toujours selon ce rapport, et sans véritable surprise, la grande majorité des entreprises concernées par ces techniques sont les fabrications industrielles. Dites « discrètes », elles comprennent les produits facilement identifiables. Dès lors, les constructeurs automobiles, d’électronique, ou encore, aérospatiale sont à l’affût des procédés de demain. Toutefois, des obstacles se dressent toujours aujourd’hui. À savoir, par exemple, la prise en compte de l’évolution des normes réglementaires sur le sujet à respecter et les impératifs uniques de chaque profession, de la demande d’essais à la vie série.