Les meilleures pratiques de fabrication additive en 2020

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En 2019, le marché de fabrication additive a atteint les 13 milliards de dollars. C’est une évolution de +21%, par rapport à 2018, et qui dessine déjà une tendance similaire jusqu’en 2025. Ce chiffre comprend l’achat de machines, de matériaux, mais aussi, de développement de nouvelles méthodes et procédés.  

QUELLES ÉVOLUTIONS À LA FABRICATION ADDITIVE CETTE ANNÉE

La Fabrication Additive ouvre une nouvelle dimension à l’industrie. Au-delà de la conception facilitée, c’est également la perspective de réaliser des pièces toujours plus complexes tout en rationalisant les pertes de matériaux. C’est donc à la croisée des chemins entre le design, les procédés et les propriétés des matériaux que se développe à vitesse record cette méthode de fabrication.
De manière assez logique, l’intégration de cette technologie à l’échelle industrielle représente un investissement assez conséquent en ressources qu’il ne faut pas négliger. Notamment, l’équipement d’outils indépendants pour optimiser l’efficacité de la production. Par exemple les outils de conception 3D, de simulation ou de suivi de production permettent d’améliorer la qualité de la production de pièces de fabrication additive et la réalisation effective de ces pièces.
Pourtant, malgré l’interconnexion de toutes ces actions au sein du processus de fabrication additive, il est possible de d’observer toute une partie de données annexes qui ne sont pas gérées dans le même effort de rationalisation. Par exemple, quelles sont les différentes étapes et acteurs impliqués dans le processus de fabrication ? Comment préparer le planning et assurer le suivi du projet ? Comment capitaliser un retour d’expériences sur une non-conformité ? sur un produit imprimé ? Autant de questions qui ne sont pas pensées en amont ou aval du processus classique :
Alors, comment capitaliser les résultats, faire le lien entre les outils indépendants et les données annexes ?

MISE EN RELATION DES ACTEURS

Assez facilement, il est possible d’observer qu’un certain nombre d’acteurs interviennent dans un processus de fabrication additive, et cela, toutes industries confondues : depuis les experts et ingénieurs matériaux, jusqu’au service achat, en passant par les services de simulation, de production et d’essais.
Tous ces acteurs sont autonomes et pourtant, interconnectés. Ainsi, de nombreuses questions peuvent apparaître, et même parfois plusieurs fois. Le problème principal est que les informations ne sont pas décloisonnées entre les services. Conséquence directe sur le processus de fabrication : ce n’est qu’avec beaucoup de temps et d’efforts qu’il est possible d’avoir accès aux connaissances du Bureau d’Études sur le choix d’un matériau et de consulter les retours d’expériences sur un projet passé pour calibrer les machines de manière efficiente.

UTILISATION D'UNE BASE DE DONNÉES TECHNIQUES

Alors, si le problème réside dans la segmentation des connaissances entre les différents services, la solution se trouve dans l’établissement d’une base de données de gestion techniques. Car outre, la prise en charge du design, des propriétés matériaux et des procédés, qui sont les trois piliers de la technologie. Il faut ajouter la capitalisation des données corollaires rattachées, telles que les résultats d’essai et de simulation, l’établissement d’une défauthèque ou le suivi de la maintenance, caractéristiques essentielles à intégrer pour gérer son processus de fabrication additive de manière efficiente. Ce qui est d’autant plus important dans le contexte de la gestion d’un projet car chaque donnée influence la qualité du produit final.

Pour en savoir plus sur la méthodologie TEEXMA® sur l’aide à la gestion de projet de fabrication additive :

Ou demander une démonstration faites par nos équipes techniques :